mardi 5 décembre 2017

Macron invite Sansal, Daoud, Dilem et Maïsa Bey à un déjeuner à Alger



 

Ce sont, ce que les historiens appellent pudiquement, LES TEMOINS LOCAUX ! Témoins locaux de quoi ? Ces " éminentes " personnalités ne représentent qu'elles- mêmes et sont inconnues de la grande majorité des Algériens ! Pour faire du bruit et se faire voir, il y a plusieurs solutions : 
1- Se rendre en Israël, s'ébaubir devant les enfants israéliens et s'écrier que les enfants israéliens sont beaux... Ce qu'a fait Sansal ! Apparemment l'inénarrable Sansal n'a pas vu les enfants palestiniens sinon il aurait pu se rendre compte qu'ils sont encore plus beaux que les enfants israéliens ! Bref, cécité, quant tu les tiens!
2°- Partir de l'autre côté de la Méditerranée et éructer tout le mal qu'on peut sur sa patrie première et surtout DIRE TOUT LE MAL POSSIBLE DE L'ISLAM ... Ce qu'a fait Kamel Daoud . Cela lui a valu le  prix Jean-Luc Lagardère du journaliste de l'année, le prix François-Mauriac de la région Aquitaine, le prix des cinq continents de la Francophonie, le prix Goncourt du premier roman 2015. (Mais pas plus, hein ! Le Goncourt ? – Non, tout de même pas!) ... Il aurait pu aller loin : faire comme un certain Bouhafs, se convertir au christianisme et insulter l'Islam et le Prophète mieux que les couillons de Charlie-Hebdo qui n'ont pas réussi leur coup, cette fois-ci, avec l'obscène caricature de Tariq Ramadan : les musulmans ont compris qu'il fallait laisser ces roquets aboyer et éructer tout leur haine islamophobe et éviter, ainsi,  de faire monter les ventes de leur torchon incendiaire d’adolescents attardés ! Quant à Maïssa Bey, j’en ai entendu parler parce que sa biographie se trouve dans un manuel scolaire de 2° année moyenne et rien de plus !... 
Gageons que Monsieur Macron lui-même ne connaissait pas ces illustres inconnus avant que l'un de ses conseillers et éminences gris (conseillers et éminences gris, hein!) ne lui glissent, subrepticement,  leur dossier sur son bureau  un quart d'heure avant l’atterrissage de l'avion pestilentiel ... Pardon ... présidentiel sur le tarmac de Houari Boumediène Airport !
Pour plaire à sa marâtre, il faut médire de sa mère ! Ainsi dit la sagesse populaire algérienne !



  

 

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